Une semaine à la mer [une BD pour les jeunes lecteurs]

Peut-être connaissez-vous la collection « Je suis en CP » des éditions Flammarion? Ma fille a découvert cette série de livres en milieu d’année scolaire dans la bibliothèque de sa classe et elle a très vite accroché aux histoires et aux personnages. Cette collection illustrée par Emmanuel Ristord et écrite par Magdalena, une enseignante de CP, a tout pour plaire. Elle est déclinée en plusieurs niveaux de lecture pour que l’enfant puisse aller à son rythme, ce que je trouve très valorisant et motivant pour les petits lecteurs. Les thèmes abordés sont ancrés dans le réel et l’univers est très familier à ma Poupette actuellement en classe de CP. De la cour de récréation, à la classe, en passant par les petits conflits, les anniversaires ou encore même les poux (on sent le vécu!); les histoires représentent des moments de vie au sein d’une classe de CP. Cela parle évidemment beaucoup à ma jeune lectrice qui s’y retrouve!

La gamme se développe et propose désormais de retrouver toute la classe de Maîtresse Julie dans des bandes dessinées. Nous avons eu la chance de recevoir le premier titre de la série « Une semaine à la mer » qu’il me tardait de vous présenter. Cette nouvelle déclinaison plait fortement à ma Poupette. Elle arrive en fin de CP avec un amour encore plus fort pour la lecture! Cette année, elle a particulièrement aimé découvrir et lire quelques bandes dessinées. Ses choix se portaient parfois sur des ouvrages un peu compliqués pour son niveau de lecture, mais pour lesquels elle ressentait un fort attrait, une grosse envie de découverte. Son papa ou moi les lisions alors avec elle (je pense notamment à la collection Les carnets de Cerise que nous avons quasiment tous empruntés à la bibliothèque).

C‘est un immense plaisir pour ma Poupette de lire et relire cette bande dessinée qui se rapproche de son quotidien. L’histoire lui plait beaucoup! On y retrouve bien sûr des dialogues dans les bulles, mais aussi une partie narrative en dehors des cases qui permet de situer le contexte. L’histoire se découpe en plusieurs parties, elle est racontée sous la forme de scénettes de deux ou quatre pages et cela facilite sa compréhension au fil de la lecture. Par ailleurs, les illustrations joyeuses, vivantes et colorées sont un régal aux yeux de ma grande fille! Sa double-page préférée est celle illustrant les cartes postales que les élèves envoient aux familles et je reconnais avoir passé, moi aussi, un moment agréable à lire tous les petits mots des enfants.

Ce billet est ma participation au RDV de « Chut, les enfants lisent » chez Yolina

*Livre reçu en service presse