Quel est le meilleur conseil que vous ayez reçu ? Que vous ayez donné ?
Bonjour,
En annoncant sa grossesse, quelle femme n’a pas été sujet aux réactions de la part de son entourage ?
Ces réactions sont bien souvent suivies par la phase (presque inévitable) des « conseils » sur ce qu’il faut faire ou ne pas faire, ce qu’il faut acheter ou ne pas acheter.
Alors même que notre 1er souci est de s’assurer du bon déroulement de la grossesse, nous voilà face à plusieurs dilemnes quant à l’achat d’un berceau ou d’un lit évolutif !!!!
Parmi ces conseils, certains se révèlent être en or tandis qu’on se serait passé d’autres.
Quels souvenirs gardez-vous de cette phase dans votre grossesse ? Avez-vous eu l’impression qu’on vous en disait trop alors que vous auriez souhaité apprendre sur le tas ?
Quel(s) conseil(s) avez-vous appliquer et transmis à votre tour ?
Quel attitude adoptez-vous aujourd’hui vis à vis de votre entourage ?
A l’heure ou fleurissent les blogs pour futurs parents, êtes-vous plutôt du genre à partager votre expérience ?
Chaque histoire est différente mais pour ma part, je n’ai pas annoncé ma grossesse… ce qui évite tous les petits désagréments qui vont avec et compte tenu de notre lourd passif ( fausse couche en nombres….) personne n’a osé la moindre remarque! ( on ne peut pas avoir que des inconvénients!) et tous ont retenu leur souffle jusqu’à la naissance de Choupette! Quant à l’attitude à adopter, Oscar Wilde disait « soyez vous-même, tous les autres sont déjà pris » … A méditer !?
Voilà qui est bien dit !!!
J’ai moi-même omis d’annoncer ma grossesse. Mon entourage a fini par le deviner.
Cà ne m’a pas empêchée de profiter pleinement de ma grossesse.
Au contraire, j’ai su en profiter ma façon, sans subir de pression extérieure.
Ma 1ère grossesse je l’ai vécu loin des familles donc un peu moins de conseil pendant la grossesse mais plus à la naissance et c’est là que ça me gave il faut le dire. Entre les gens de ma famille qui s’imagine que nous n’allons pas aimé cet enfant, ne pas lui faire assez de bisous. Tu vois « les misérables »? ben les méchants dedans c’est nous!
Pour le 2ème, j’étais chez ma mère au début car retour de séjour et là j’ai eu des remarques car comme je n’étais pas immunisé contre la toxo je faisais attention. J’ai refusé de boire de l’alcool et là « oh ben les femmes avant elles faisaient pas attention comme ça et elles avaient pas de problèmes! » grrrrrrrrrrrrr au secours ça me gave!
Ensuite il y a les conseils des « pro » et « anti » tétine, allaitement, cododo, ….. la liste est longue et celle des conseils aussi.
Je me rappelle à la naissance du 2ème on avait les 2 mamies à la maison et ma mère qui me dit « il faut pas que l’eau du bain soit trop chaude! » moi » ben on n’a pas brûlé le 1er alors on va éviter de brûler celui-là hein! »
Le meilleur conseil que j’ai reçu c’est lorsqu’à cause de mon infertilité, j’hésitais à me lance en GPA, une amie m’a dit de ne pas faire attention aux hypocrites qui n’ont jamais su ce que signifie le diagnostic de la stérilité et qui n’ont pas essayé de concevoir un enfant pendant des années. Du coup je me suis lancée et mon enfant est également né grâce à une mère porteuse dans l’une des cliniques ukrainiennes (Feskov). Je ne comprends pas pourquoi je devrais avoir honte de cela. J’ai beaucoup parlé avec des mères porteuses, il n’est pas question d’exploitation. Chacune d’entre elles est pourvue de tout, elles veulent aider sincèrement les couples infertiles. Et s’il y a aussi une bonne récompense pour cela, pourquoi pas ? Après tout, c’est bien quand tout le monde est heureux !
Tandis que certains couples qui rêvent d’enfants s’interrogent sur la légalité et la sécurité des GPA en Ukraine, d’autres deviennent déjà parents. Regardez au moins cette vidéo où une mère heureuse raconte comment elle et son mari ont subi une GPA à la clinique de Feskov https://youtu.be/As0RZWwx0WE