Ces sujets qu’on tait sur la grossesse
Bonjour à toutes,
Je ne sais pas si vous êtes comme moi mais une fois mon fils venu au monde, j’ai été prise d’une fièvre acheteuse… pour les livres.
Peu importe la façon et le temps que l’on prend à se préparer à cet évènement, je pense que chaque naissance apporte son lot de bohneur mais aussi de questions et de doutes.
Je me souviens encore de mon assurance quelques semaines avant l’accouchement. A l’époque, je m’étais convaincue que je serais à la hauteur et que je saurais contourner les chamboulements qu’une naissance provoque… parce que je l’avais imaginée comme çà au plus profond de moi et pas autrement.
Comme j’ai pu être naïve !!! Ma vie n’était pourtant pas un film dont je pouvais écrire le scénario en fonction de mes envies.
Il m’a fallu de très longs mois de remise en question et d’auto- réflexion, de disputes avec mon homme et des membres de ma famille, avant de me réveiller.
J’ai tellement idéalisé la maternité que j’ai fini par déchanter une fois confrontée à la réalité.
En effet, quand on parle de maternité, il est rare d’entendre parler des « dommages collatéraux » que cela provoque.
J’ai le sentiment que certains sujets restent encore tabous et que les professionnels devraient savoir les aborder en amont (pour permettre à une jeune mère de mieux les affronter).
Voici quelques exemples de ces sujets:
- La nature prend le contrôle de notre corps pendant les quelques jours (voir semaines) qui suivent l’accouchement. Pour une raison qui m’est inconnue, alors que ma grossesse s’est très bien déroulé en général,j’ai été victime d’hypertension pendant une semaine après l’accouchement. Même si je sentais que je pouvais faire avec physiquement, il était hors de question que le corps médical signe mon autorisation de sortie avant que ma tension ne redescende de façon acceptable. Certes, c’était la plus sage décision à prendre. Mais j’ai été terriblement déçue de ne pas pouvoir rentrer chez moi avec mon fils alors qu’il était en pleine forme. Au final, retarder mon jour de sortie n’a fait qu’augmenter mon stress. Plus encore quand les médecins ont fait la sourde oreille face à ma demande de rentrer.
- L’épuisement maternel. Et la vitesse à laquelle il s’installe dans notre quotidiene. Et oui, qui peut se vanter d’avoir pu s’adapter au rythme de son enfant dès le début ??? Parler ce ce mal permettrait de relativiser et de réaliser qu’il existe des solutions pour l’éradiquer.
- L’assimilation de cet épuisement à mon incapacité d’exercer mon rôle de mère correctement. Après tout, ma mères, tante ou grand-mère ne se sont jamais plaintes de burn-out, elles. Pourquoi devrais-je ? Sauf que le paysage social et familial a tellement évolué aujourd’hui. Et une mère doit souvent porter les casquettes de mère, épouse, soeur, amie, collègue, etc… à la fois et cela nécessite beaucoup d’énergie et d’organisation.
- L’isolement dans lequel je me suis trouvée. A moins d’avoir sa famille à proximité ET disponible. A moins de donner naissance en même temps qu’une proche, il es très difficile de garder le contact avec son cercle social. Et cela peut durer des mois comme des années. Aujourd’hui, c’est quelque chose que je ne comprends toujours pas mais il semblerait qu’avoir un enfant fait fuir beaucoup de monde.
Ma liste s’arrête car je ne veux pas donner l’impression de ne pas apprécier l’expérience de la maternité. C’est loin d’être le cas !!!
J’avais simplemnt besoin de partager mon vécu car je trouve que l’on parle trop peu de ces sujets.
Comment avez-vous vécu l’après de votre grossesse ? Vous reconnaissez vous dans l’expérience que j’ai vu ? Comment avez vous fait face ?
L’après grossesse à été plus facile que le « pendant ».
Mais j’ai eu un baby blues qui a duré quelques semaines, mis tout et revenu dans l’ordre tout de même.
Le sentiment après accouchement est souvent bien difficile à gérer.
Salut! Est-ce que il y a quelqu’un qui a eu une bonne experience avec les cliniques européennes de la reproduction? Quel est le prix des services de la mère porteuse? Ma femme et moi nous aimerons vraiment être parents, mais les prix américains sont très élevés.
Nous avons participé au programme de maternité de substitution en Ukraine au sein du groupe de reproduction humaine Feskov (https://mere-porteuse-centre.fr). Que puis-je dire : le pays est pauvre, mais la ville est très soignée, les médecins sont des professionnels. Ils proposent des forfaits individuels à prix fixe, garantissant l’accouchement et un nombre illimité de FIV. La durée de l’ensemble du processus est d’environ 1 an, le prix est très rentable, et par conséquent – nous sommes des parents heureux !
Surtout quand la plupart des personnes décrit cette période comme magique… alors qu’elle peut être compliquée pour certaines… et certains
je suis si émue de lire cet article avec toutes ces images de femme enceinte et de la représentation de la famille! j’en ai rêvé longtemps et j’ai pleuré des fois toutes les larmes de mon corps car je suis infertile depuis mes 23 ans pour une endométriose sévère et des ovaires polykystiques, vous comprenez que dès lors j’ai entamé un vrai parcours de combattante en PMA durant 5 ans sans la moindre fausse couche, les complications suivront plus tard et mon gygy découvrira d’autres soucis complexes: verdict, ma seule issue pour espérer être maman était la maternité de substitution, c’est alors que commence une autre aventure à l’étranger car impossible ici, d’abord en espagne puis en ukraine! je rends hommage ic au groupe Feskov à Kharkiv pour tout leur savoir-faire en matière de PMA https://mere-porteuse-centre.fr , à travers eux j’au pu enfin avoir ma petite fille. tout le monde a droit au bonheur vous savez! parfois il faut vivre certaines situations dans sa chair pour mieux les comprendre et sortir des littératures, vive la famille et la vie
La clinique Feskov a un bureau à Bruxelles (https://mere-porteuse-centre.fr). Une mère porteuse après 6 mois de grossesse sera observée en Belgique et donnera naissance en Belgique également.