‘La chute n’est pas un échec. L’échec est de rester là où on est tombé’ disait SOCRATE Le goût amer de l’échec, de tomber je l’ai vu à l’apprentissage des premiers pas de mon fils ainé et ensuite avec mon fils cadet, à des échelles différentes. Pas la même réaction, car pas le même caractère pour l’un et pour l’autre. Pour l’ainé, tomber et se relever pour attraper la sucette que lui tendait son papa au bout de la pièce a été pour lui un rythme inscrit. Dans son corps, l’effort à atteindre pour la récompense au bout du sucre de la sucette à la Fraise a été sans larmes, sans cris. Miam Miam. Tomber après tout était même rigolo sur son visage expressif. Une belle surprise pour moi en rentrant du travail un soir, d’avoir laissé le matin mon fils ainé à quatre pattes entrain de parcourir le monde à l’horizontal, le soir sa motivation s’est transformée en découverte du monde à la verticale. Pour le cadet, tomber était l’échec et les pleurs associés avec. Faut dire que l’ADN du cadet est de se mettre une pression énorme et de vouloir fait aussi bien que le grand, voir mieux… lire la suite →